Interview d'Olivier PLANTUREUX, nouvel adhérent du pôle Unis IDF

Interview d'Olivier PLANTUREUX, nouvel adhérent du pôle Unis IDF

"J’ai rencontré à l'Unis des acteurs inspirants dans des démarches positives, loin des clichés que peut parfois véhiculer le secteur"
Olivier Plantureux

Présentez-vous

Après 20 ans passés au sein du secteur Télécom, j’ai fondé Nova Copro, un nouveau syndic de copropriété basé à Levallois Perret et opérant sur l’ouest parisien. Je porte l’ambition d’apporter un regard extérieur sur le métier et des pratiques potentiellement novatrices, associant le meilleur de l’humain et de la technologie.

 

Pourquoi avez-vous adhéré à l’Unis ?

Il était naturel pour moi de rejoindre une fédération sectorielle. Avant de me lancer, j’ai rencontré différents professionnels établis qui m’ont partagé leur expérience avec beaucoup de bienveillance et conseillé pour plusieurs d’entre eux de rejoindre l’Unis. Le nombre de syndics de copropriété ayant déjà adhéré m’a conforté dans ce choix.

 

Que vous apporte l’Unis au quotidien ?

A ce stade, déjà beaucoup d’informations et de contacts. Je suis très heureux notamment d’avoir ainsi pu participer à mon premier congrès national en novembre dernier, puis au Pavillon Dauphine organisé par l’UNIS Ile de France en janvier. J’y ai rencontré des acteurs inspirants dans des démarches positives, loin des clichés que peut parfois véhiculer le secteur.

 

Quels services de l’Unis utilisez-vous ? 

Au-delà de ces rencontres, j’ai plaisir et intérêt à consulter les informations régulièrement communiquées : notre actualité est chargée et il est important de se tenir bien informé. J’ai pu nouer de premiers contacts intéressants avec des partenaires de l’Unis. Je prévois également de faire appel à l’assistance juridique et de regarder le catalogue des formations proposées.

 

Décrivez l’immobilier en 3 mots

  1. Quotidien
  2. Patrimoine
  3. Vivre ensemble

 

L’Unis en 3 mots

  1. Professionnalisme
  2. Bienveillance 
  3. Grande famille

 

Un petit message à ajouter ?

Au sein du secteur Télécom, nous avions l’habitude d’être en « coopétition », c’est à dire à la fois dans une concurrence source d’émulation et d’innovation, mais aussi capables de nous rassembler sur des problématiques clés : c’est ce que j’espère retrouver à l’Unis !